Techniques de Gabranth

Gabranth possède le Ketsue Ketsue no Mi ayant le pouvoir de contrôler le sang, et de contrôler sa matière et sa forme. Problème pour pouvoir l’utilisé, la personne sur qui le pouvoir sera utilisé devra être bléssé, et ne devra pas bougé. Cependant Gabranth étant un homme sang il n’a pas besoin de se blesser pour.



Techniques liées au fruit :

· Kakouhin Kotaino (Transformation solide) : Le sang est transforméen solide.

· KakouhinEkitaino (Transformation liquide) : Le sang est transformé en liquide.

· Bouheki (Mur de protection) : Utilise du sang pour créer un mur de protection très résistants.

· Ame no Ketsueki (Pluie de sang) : Une pluie de sang s’abat sur l’adversaire. Le sang est solidié, fin comme des aiguilles et tranchant comme une lame.

· Buki no Ketsueki (Arme de sang) : Créer une arme grâce au sang pour pouvoir se battre avec.

· Sakki (Soif de sang) : Absorbe le sang de quelqu'un pour combler sa propre perte sanguine.

· Ken'ketsu (Don du sang) : Sacrifie un peu de son sang pour en donner à quelqu'un de blesser.

· Ryuuketsu (Carnage) : Fais sortir d’un peu partout des lames ensanglantées pour piéger l'adversaire et l'amoché grièvement. Besoin minimum d’un bon litre de sang.

· Ori no Ketsueki (Cage de sang) : Emprisonne un adversaire dans une cage fait à partir de sang que Gabranth solidifie. Cependant il ne peut s’en éloigner sinon la cage disparait.

· Chiyu (Guérison) : Accélère la circulation du sang pour guérir plus vite les blessures.

· Naimen' Bakuhatsu (Explosion interne) : Fait surchauffé le sang à l’intérieur du corps de quelqun’un qui finira par exploser. Peut causé la mort ou faire explosé les membres de quelqu'un.

· Gisei (Sacrifice) : Cette technique n’est pas vraiment un sacrifice cependant elle consiste à intégrer le corps d’un défunt par une coupure faites du torce jusqu'à l’abdomen verticalement. Gabranth se liquifie en sang et rentre à l’intérieur du corps pour en prendre possession, c’est en quelque sorte une demi-résurection. Le corps emprunté possède alors aussi les pouvoirs du sang. Ce qui permet aussi de prolonger son espérance de vie.



Techniques d’épéistes :

· Goudou (Fusion) : Rassemble ses deux épées pour en former une doublé épée.

· Bun'ri (Séparation) : Sépare sa double épée pour se battre une épée dans chaques mains.

· Tokkan' (Charge) : Nécessite la double épée. Court vers l’ennemi, et l’éjecte avec le manche de la double épée. Le but étant de destabilisé l’adversaire.

· Jin'rai (Coup éclair) : Attaque rapide sur l’adversaire avec ses deux épées.

· Doshaburi (Déluge) : Enchainement de coups entre les épées doubles et la double épée.

Journées banales, l’orphelinat était un lieu singulier, où tout le monde pouvait être bon ou mauvais, où tu pouvais vivre en paix comme vivre un véritable enfer, avoir des amis ou non. Moi j’étais du genre à rester seul. La compagnie ne m’intéresse pas. A quoi cela pourrait-il bien me servir ? Mes parents mon abandonné tout jeune bébé que j’étais, j’ai donc en partit toujours vécu seul. Je me suffisais à ma personne, et les autres n’auraient fait que me gêner, me causer des problèmes. Quand il s’avérait qu’on m’embêtait pour les simples et bonnes raisons que j’étais seul, renfermer, et que sous prétexte d’être 5 garçons les plus « turbulents » de la classe, ils avaient le droit d’emmer*** quiconque, ils se retrouvaient en mauvaise état à l’infirmerie dans la demie heure qui suivait pendant que j’allais autre part, en sifflotant un petit air. Les filles ne m’appréciaient gère aussi, apparemment je leur faisais peur et n’osaient donc m’approcher, mais bon, ca m’étais complètement égal.



Un jour où le soleil atteignait toujours le haut du ciel et que les nuages commençaient à s’affoler, la pluie se mit à tomber. Brusquement, pourtant il aurait paru faire beau pour encore une semaine. Cependant les gens de la ville connaissaient ces phénomènes, et annonçaient le venu des pirates. On pouvait entendre dans les rues, les portes et les volets, les fenêtres se fermer à vive allure, comme un claquement continue en échos. Tout le monde se barricadaient de peur de se voir piller, détrousser, torturer, violer voir même mourir.
Puis plus rien, le silence. Les cours furent promptement interrompu par le directeur qui passa alors dans toutes les classes et demanda alors à tout les élèves de regagner leur dortoirs respectifs. Curieux. Le directeur paraissait calme, mais les enseignantes stressé. Que pouvait donc faire resté aussi serein le dirlo ? Peu importe, nous regagnions tous nos chambres, moi j’en avais une pour moi seul, c’était le mieux …

Des pas, groupé, et lourd, comme précipité. Des bruits sourds, comme si on renversait des meubles, des cris, stridents, et rempli de peur, les pirates étaient rentré, et ne cherchaient pas à s’assoir gentillement autour d’une table et de boire un thé, ils étaient venu pour dévaster la ville, et l’orphelinat fut apparemment le début de tout. Je ne voyais pas ce qui se passait dehors, mais en tout cas je le devinais, ils détruisaient tout ce qu’ils voyaient. Et du côté humain, je doute qu’ils n’épargneront ni les adultes, ni les enfants. Mais moi, je ne me laisserais pas faire…je regardis alors ma chambre, par quels moyens je pouvais me protéger ? Je n’avais pas d’armes. La seule solution, me cacher pour survivre. Je regardais tout les recoins de ma chambre pour trouver comment ne pas me faire trouvé. Je regardis la salle prédisposé aux cabinets, les murs étaient étroits, il m’était donc facile de monter doucement grace au mur et de me coincé collé au plafond, en attendant qu’ils fouillent ma chambre. Je le fis, et coup de chance, j’eus juste le temps d’y arriver, que ma porte s’ouvrit avec fracas, et alors deux pirates rentrèrent dans le dortoir, leurs lames sortit étaient alors pleines de sangs. Ils commencèrent à retourner, à fracasser tout ce qu’ils voyaient, autant mon lit, que mon bureau ou encore mon armoire :

- Pfff ! Y a vraiment rien à faire ! Tout ce qu’on fait c’est sacagé des chambres de marmots, et tuer tout ce qu’ils bougent .
- Te plains pas, sinon le chef va encore te corriger.
-Mouais…en tout cas, j’ai bien aimé la peur des petits en nous voyant arrivés, hahaha ! Tu les as vu ? Mort de trouilles, et le porcinet qui me regardait avec l’air « épargnez moi », mais ce que j’ai préféré c’est quand je lui est coupé le bras droit et la jambe gauche ! Il n’était même plus symétrique ! Ahahaha ! Et puis vu qu’il ressemblait plus a rien, bah je l’ai tué, il ressemblait à un monstre manchot. Dit-il mort de rires.
- Clair ! Et sa copine qui était là entrain de crier de le laisser tranquille, hop ! Plus de tête ! C’est comme une marionnette, si facile à déboiter ! Lui répondit-il en riant et en mîmant la scène.
- Sur ! Bon tant qu’a faire, la chambre est vide, moi je vais pissé .
- Encore ? Tin, mais t’as la vessie trop fragile mon pote, faut te soigner ! Dit-il en lui faisant un geste comme quoi il continuait sa « patrouille ».

Le pirate entra dans la pièce où j’étais, sans me voir, et tout en descendant son pantalon, il fit se qu’il avait à faire tout en gromelant quelque chose. Je le regardais avec mépris, pas vraiment parce qu’il avait tué mes camarades, je m’en fichais un peu. Seulement je ne pouvais laissé ce carnage continué. J’entrepis alors de passer à l’action.

*Bon…il est occupé, je doit en profiter ! Je vais lui coller mes deux pieds dans la nuque, au pire il mourra.*

Je me préparais. Et prennant bien appuis sur mes deux petits bras, je le frappais de toute mes forces dans la nuque avec mes deux pieds. Le pirate fut sonné et tomba la tête sur la cuvette. Moi pour descendre, je sautais alors sur lui. Pourquoi aurais-je de la pitié pour un vulgaire pirate ? Attérissant sur lui, j’entendis un petit craquement de sa colonne vertébrale qui me fit sourire de façon narquois. Je soulevais alors sa tête et lui dit à l’oreille :

« De la part du petit porcinet. »

Je lachais sa tête qui revint se placer dans la cuvette. Je pris son sabre qu’il avait rangé au préalable avant de faire ses besoins. Elle était assez lourde, mais ce n’était pas grave, c’était la seule arme que j’avais pour me défendre et malgré mon âge ce n’est pas comme si je n’avais rien dans les bras. Je m’avancis hors des cabinets, je me collais derrière un rideau de la fenêtre positionné prêt de la porte car j’entendis son collègue revenir :

« Bon alors tu as finit ou quoi ? T’en mets du temps ! » Dit-il alors qu’il entrait dans la pièce. Il se retourna vers son camarade qui était alors comme il put le constaté hors d’état de nuire. Lui étonner de ça, ne prit pas de suite attention au fait que quelqu'un aurait pu s’être caché en l’entendant arrivé. Pas de bol pour lui, j’étais là . Je sortis de ma cachette doucement et lui donnais un grand coup derrière les genoux qui l’obligea à se mettre à genoux à même le sol sans qu’il sache pourquoi. Il tourna alors la tête le visage un peu énervé, et eu à peine le temps de me regarder que je lui collais un coup du côté flanc de mon sabre, ce qui l’assoma et le fit tombé à terre :

« De la part de la marionnette . »

Je regardais mon travail. Deux pirates assomés. Pas mal pour un jeune enfant de 10 ans non ?
Je sortis de ma chambre et scrutais alors les couloirs : le chaos. Tout étaient brisé, et du sang jonchait par plusieurs endroits le sol.

*Et bah, y ‘en a qui se sont amusé a ce que je vois. On joue a qui fera le plus de dêgats ?
Enfin…je dois trouver le directeur…*

Je me mis alors à marcher prudemment vers le bureau de celui-ci. J’avançais dans les couloirs prudemment tout en observant les dégâts causé par les pirates, je ne voyais aucuns survivants…jusqu’ici, les chambres étaient « rouges » et les couloirs devenaient rougeatres au fur et à mesure que je m’avançais vers ma destination. J’y arrivais après quelques minutes plus tard, forcé de me cacher un moment alors que plusieurs groupes de pirates examinaient les couleurs chaotiques de l’orphelinat, cherchant de quoi les distraires encore. J’entrais alors dans le bureau du dirlo, ce que je vis c’était le directeur qui avait éssayé de se défendre et qui avait dû le payer cher. Une lame était planté dans son abdomen, et son sang avait déjà pas mal coulé. Je m’approchais alors avec méfiance de lui, je ne voulais pas me faire piégé. Enfin j’arrivais prêt de lui, je me mis à genoux et lui soulevait la tête. C’est pourtant bizarre, mais c’est la seule personne qui m’est accepté comme j’étais. Et je l’aimais bien ce petit vieux, malgré toutes les misères que j’ai pu causé au sein de son établissement, il me considérait un peu comme son jeune fils.

-Dirlo ! Réveille toi ! Lui disais-je en le secouant un peu. Il ouvrit les yeux et me regarda.
- Gabranth ? Tu es…vivant ? Je suis con…tent. Il parlait faiblement et m’évoquais de la tristesse.
-Oui, je le suis…mais vous ? Qui vous as fait ça, et pourquoi on-t-il fait ça ? Le questionais-je rapidement.
- Ce sont des pirates…les pirates que craignaient tes parents…c’est pour ça qu’ils t’ont mis ici. Pour que tu sois en sécurité...
- Mes…parents ? Lui répondis-je troublé de sa réponse.
- Oui..Basch, et Ashe…ton père et ta mère…

J’étais troublé…le vieux me parlait d’eux de temps en temps…il me les avaient décrit, physiquement comme de caractères, c’étaient de bons parents qui voulaient seulement que je vive loin de leurs problèmes, pour que je vive paisiblement. Il m’avait laissé, tout jeune dans cette orphelinat. Et j’apprends par le vieux, que les pirates du passé, reviennent massacré tout le monde ? Etrange…

-Fui mon garçon…ne te fais pas avoir par eux…
- Mais…et vous ?
- Tu le vois bien…je vais mourir, mais souviens toi…que tu n’es pas seul…les personnes qui tiennent à toi serons toujours prêt de toi… Dit-il en plaçant sa main sur mon torce au niveau de mon cœur.Maintenant fuis…loin d’ici…

Ce fut ses dernières paroles…il me les avaient consacré, et voulait continué ce qu’avait fait mes parents : me protéger.

« Mizumi… »

Je fermais les yeux, paix à son âme. Je reposais sa tête sur le sol avant de me lever mais je n’eus le temps de m’échapper que quelqu'un m’asséna un coup sur la tête qui me fit perdre connaissance, j’entendis juste un ricanement et un homme qui me disait : « Fais de beau rêve. »


Au final, seul l’orphelinat avait été la cible des pirates, comme si ils avaient cherché quelque chose et moi j’avais été assomé, et emporté par l’un d’eux à bord de leur vaisseau jusqu'à leur cachette.
Que me réservait-il ?